Durant un échange ouvert, la coalition a pu souligner la nécessité de développer une réglementation forte et contraignante pour le secteur financier en matière de respect des droits humains, de la biodiversité, de l’impact social des activités financières et du changement climatique.
L’importance de prendre en compte les contributions de la société civile au développement de la place financière (par exemple dans le contexte de la Luxembourg Sustainable Finance Initiative), ainsi que de garantir une formation critique des jeunes en matière d’économie et de finances ont aussi été soulignées.
Si la ministre a mis en avant l’impératif d’une coordination internationale de la règlementation du secteur financier, la coalition de SOS Faim, Justice et Paix, ASTM, Greenpeace, etika et le Cercle de Coopération des ONGD a insisté sur l’urgence d’agir et a articulé le désir de voir le Luxembourg prendre le rôle de leader dans l’encadrement du secteur financier et du domaine de la finance durable en créant au plus vite une règlementation à impact au niveau national.